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denieres modifes 28/10/2006 .

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dossier galDOSSIER PALESTINE

LES DOSSIERS D'INFOSUDS

Guerre en Irak et en Afghanistan

1994/2004 10 ANS DU GENOCIDE RWANDAIS l'implication de la France

Traffic a fric Dossier sur la politique africaine de la france et des firmes : Total Fina Elf...Infosuds N30 - Eté 2001DOSSIER NUCLEAIRE

Liste des OGM

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2001DOSSIER BANLIEUES CITES

Manifeste du web independant

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27/28 Octobre 2006

Le Squatt Le Clandé évacué par la milice Sarkozienne
Le Squatt Le Clandé réoccupé

27/10/06 : Les flics évacuent à Toulouse le squatt historique Le Clandé. Journée de blocages et de manifs, charge de CRS...puis...

"Le Clandé a été bafoué, Le Clandé a été expulsé, mais
Le Clandé a été libéré. Hier soir (le 27/10/06)sur le coup des 21h, juste après l'AG, 200 et quelques personnes sont
partis en manif. Une fois devant LE Clandé, un coup de
pied audacieux a été envoyé dans la porte. Qui s'est
aussitôt ouverte en grand... A l'intérieur un vigile
et son chien. On ne sait plus lequel des deux a eu le
plus peur. Ils sont sortis sans encombre laissant une
émotion populaire reprendre possession des lieux. Une
belle nike à la Préf, à La Ligue, à la Mairie... Un
moment historique. Un de plus dans cette sacrée
baraque. C'est donc à nouveau ouvert et il faut vite y passer..." Mail reçu à Infosuds le 28/10/06

Indymedia Toulouse aurait aussi été touché par l'évacuation. Plus d'infos sous peu...

Liban /Palestine: stop aux massacres et à l'occupation !

Soutien à la résistance palestinienne et libanaise

Interviews sous les bombes israéliennes -

Abdelrhaman Zahzah, résidant à Beyrouth
« La Résistance est légitime » 25/07/06

Abdelrhaman Zahzah, résidant à Beyrouth
« La Communauté internationale doit influencer Israël pour qu'il cesse son agression »

Kristof St Esteben, salarié basque d'une ONG espagnole à Saïda
« En 6 ans, j'ai pu voir ce pays se reconstruire et être détruit en 6 jours » 20/07/06

 

 

13 MAI JOURNEE DE MANIFESTATIONS NATIONALES CONTRE LA LOI SARKOZY "CESEDA"

Liste des manifs :

www.contreimmigrationjetable.org/

 

NATIONALISATION DES HYDROCARBURES EN BOLIVIE

REAPPROPRIATION DES ENTREPRISES EN AMERIQUE LATINE

Un dossier réalisé par Infosuds - Ekaitza et Doxa. 05/06

Privatisation de la SNCF

Europe : quand la privatisation du rail tue 04/06

Pour un capitalisme équitable, mangeons
des bananes
04/06

Infosuds N°43 en pdf Mars 2006, diffusé dans toutes les bonnes manifs (et même dans les moins bonnes...)

Infosuds en pdf Janvier 2006

PAS DE NEGOCIATIONS !

GREVE GENERALE JUSQU'AU RETRAIT TOTAL

DU CPE ET DU CNE !

BLOCAGE JUSQU'A CE QU'ILS S'EN AILLENT

C'est bien une grève générale reconductible qui peut faire plier le gouvernement. Les négociations sans retrait du CPE ne doivent pas avoir lieu. Elles sont illégitimes. Certains syndicats se voient déjà négocier certains aménagements. Ne les laissons pas nous voler notre mouvement ! Face à un gouvernement qui envoie encore la police arrêter et matraquer les jeunes, quelques mois après le soulèvement des banlieues, qui casse le mouvement à coups de comparution immédiates et de peines de prison, le temps est à l'action et à la solidarité avec une, jeunesse qui relève la tête. Salariés, lycéens, étudiants, chômeurs et retraités, tous en grève générale pour le retrait du CPE et du CNE et l'abrogation de la loi "Egalité des chances". GREVE GENERALE JUSQU'AU RETRAIT TOTAL. Qu'ils l'abrogent et qu'ils s'en aillent !

 

 

Contre l'Etat d'urgence et le couvre feu RESISTANCE !

Le temps qui passe
vaincra l’état d’urgence..!

Des semaines déja que le gouvernement a proclamé l’état d’urgence dans les quartiers populaires et que le parlement l’a prolongé sur 3 mois, tant qu’à faire !
Des semaines pendant lesquelles une répression trés dure s’est abattue sur la partie la plus défavorisée de la jeunesse. Près de 5000 arrestations, des jeunes déférés par centaines devant les tribunaux et condamnés à de lourdes peines de prison, d’autres d’origine étrangère expulsés de France, et tout cela dans l’indifférence quasi générale.
Des semaines qu’une loi ressortie directement d’une des époques les plus noires et les plus sanglantes de notre honteuse histoire coloniale autorise les pires attaques contre les droits démocratiques les plus fondamentaux (droit d’expression, d’organisation, de manifestation, de circulation, liberté de la presse) dans certains quartiers populaires.
Et parallèlement, exceptés de rares initiatives salutaires isolées, cela aura été de longues semaines marquées à gauche par l’abscence de réaction, d’inaction et de tergivers
ation, silence à peine troublés par quelques communiqués de protestation.
Une grande partie de la gauche (et pas qu’au PS loin de là), est bien plus préoccupée par les incendies de voitures et de locaux que par le sort d’une jeunesse qui a bien assimilé (on le lui fait assez comprendre à coup d’humiliation, de flics et d’exclusion sociale) que ce monde ne lui réservait ni lace ni avenir. La capitulation devant le discours sécuritaire de la droite et de l’extrème-droite relayé en boucle par les médias, après avoir permis le 21 avril 2002, permet aujourd’hui des attaques contre les droits démocratiques, incroyables il y a peu encore, sans l’ombre d’une riposte à la hauteur.
Et plus globalement, ce sont les capitulations et les renoncements à gauche et notamment des grandes confédérations syndicales qui permettent à un gouvernement qui était aussi discrédité qu’affaibli, d’enchaîner les attaques sociales d’envergures, et de casser les luttes les unes après les autres sans grandes réactions, celles-ci s’étant retrouvées isolées.
C’est ce qui s’est passé au printemps avec la répression du mouvement lycéen : violences policières, arrestations, tribunaux, peines de prison, TIG…, du jamais vu dans l’histoire des mouvements lycéens. Pas de réaction ni de soutien massif. Là encore, la gauche bien pensante se retrouve pour stigmatiser " les casseurs "…
On envoie le GIPN contre des postiers de Bègles et on vire des militants syndicaux, ce n’est pas courant ! Pas de grandes réactions.
Cet automne, ce sont les marins de la SNCM qui sont abandonnés au GIGN et à leur triste sort de privatisés, pendant qu’en secret, des chefs syndicaux font avec le gouvernement des tractations sur leur dos. Pourtant ils se battaient contre la privatisation, alors que celle d’EDF est à l’ordre du jour.
Tout comme les salariés de la RTM dont la grève est déclarée illégale par la justice, ce qui est une première depuis 1945. Pas de réactions d’ampleurs.
Les étrangers en général, les sans-papiers en particulier font les frais du consensus politique mis en place après le 11 septembre : rafles massives pour remplir les charters, expulsions de mineurs, double-peine viennent prolonger la liste noire des lois racistes et liberticides, dont la gauche parlementaire a voté une grande partie (LSQ…). Dans tout l’hexagone, militants politiques et syndicaux se retrouvent poursuivis, interdits de séjour, emprisonnés grâce à une justice, qui une fois de plus, s’est mis aux ordres. Les dernières barrières défendant la liberté d’expression tombent les unes après les autres dans l’indifférence, pendant que l'ordre moral et la répression tétanisent la population.
Chaque secteur en lutte se retrouve laissé à son propre sort, à sa défaite inévitable qui s’en suit. Il en est ainsi des banlieues. En plus dramatique car encore plus coupées du mouvement social
De renoncement en capitulation, de désertion en collaboration, la presque totalité de la gauche politique, associative et syndicale a laissé s’installer une situation où une mesure aussi énorme que l’état d’urgence ne suscite au pire que des questionnements au sujet de son efficacité réelle, et au mieux, quelques communiqués indignés. Quand cette loi se retournera contre l’ensemble du mouvement social, il sera bien tard. Car ce genre de loi, tout comme les campagnes sécuritaires n’ont jamais d’autres buts que de protéger l’ordre établi, celui des marchandises et du fric. Et la criminalisation des mouvements de contestation a toujours été une arme du pouvoir.
Mais l’explication politique essentielle de l’abscence de réactions à l’état d’urgence se trouve dans le refus de fait de la part de la presque totalité des organisations de soutenir la révolte des jeunes de banlieues. Ne pas être amenées à devoir les soutenir concrètement et politiquement. Mobiliser de suite dés la proclamation de l’état d’urgence posait forcément la question du soutien aux jeunes. Et comprendre et analyser le malaise des banlieues c’est une chose, soutenir des jeunes qui se révoltent s’en est une autre, surtout si il y a de la casse. Car il existe en fait un large consensus au sujet de la défense de “l’ordre républicain” dans l’ensemble de la gauche politique et associative (jusqu’à la gauche de la gauche). On se rappelle les glorieux appels à voter Chirac en 2002. Le manque de mobilisation contre l’état d’urgence est le reflet de ce consensus politique sur ”l’ordre républicain”.
Plusieurs semaines plus tard quand la révolte était finie et réprimée, pouvaient enfin avoir lieu des appels unitaires à manifester. Le soutien aux jeunes ne se posait plus. L’ordre républicain n’était plus en danger. On pouvait protester entre bons démocrates. La liste des organisations signataires de l’appel à manifester contre l’état d’urgence à Paris le 15 décembre est impressionnante. Il n’y a bien que cela qui soit impressionnant d’ailleurs.
Mais enfin, devant la mobilisation du temps qui passe, le gouvernement se préparerait à céder. le 21 février prochain, il pourrait proclamer la fin de l’état d’urgence.
En attendant, nous tous qui avons eu la rage devant cette apathie politique face à une agression gravissime, nous qui ne défendons pas l’ordre républicain car nous ne défendons pas un système social et économique injuste qu’allons-nous faire ?
Infosuds, le 11/12/2005

Etat d’urgence, les précédents


La loi du 3 avril 1955 sur l’état d’urgence a été adoptée par l’assemblée nationale sous le gouvernement d’Edgar Faure (Radical Socialiste). Elle a été reprise en mars 1956 dans le cadre des pouvoirs spéciaux accordés au gouvernement de Guy Mollet (SFIO) et appliquée notamment par François Mitterand (ministre de l’intérieur en 1956).
Destinée donner au gouvernement tous les pouvoirs pour réprimer le soulèvement de la population en Algérie, cette loi permit l’enfermement de 10000 algériens de la métropole dans divers endroits, façon Guantanamo, hors de tout contrôle judiciaire ou démocratique.
C’est dans le contexte de l’état d’urgence que fut interdite toute manifestation en rapport avec les mouvement indépendantiste algérien et que le préfet de Paris, Maurice Papon, ordonna le massacre de plusieurs centaines de personnes lors de la manifestation du 17 octobre 1961 appelée par le FLN..
Avec l’irruption sur la scène politique de l' indépendantisme Kanak, la loi de 1955 a été activée une deuxième fois en décembre 1984 pour une durée de 6 mois. François Mitterand était alors président de la République et Laurent Fabius, premier ministre.

La loi

La loi sur l’état d’urgence est instituée " en cas de péril iminent résultant d’atteintes graves à l’ordre public " ou en cas d’évènements " présentant par leur nature et leur gravité, le caractère de calamité publique " . Concentrant tous les pouvoirs dans les mains de la police, l’état d’urgence écarte tout contrôle à priori d’un juge sur de la légalité des décisions prises et exécutées au cours de la période déterminée sur le territoire défini par le préfet. Cette loi a servi tour à tour à mater la rébellion algérienne (1955-1962) et à contenir la rebellion Kanak (1984-1985).
Elle réapparaît aujourd’hui dans le cadre des "violences urbaines " que tout le monde sauf De Villiers, Le Pen et Sarkosy s’accorde à qualifier d' "insurrection liée aux problèmes sociaux ".
L’Etat d’urgence a été établi par un décret de De Villepin le 2 novembre 2005 pour une durée de 12 jours. Ce décret a été confirmé par la loi du 18 novembre 2005 qui prolonge l’état d’urgence pour 3 mois (jusqu’en février 2006) .
Dans ses articles 5,8 et 9, la loi sur l’état d’urgence donne au préfet la possibilité d’ " interdire la circulation des personnes et des véhicules " (couvre feu), " d’interdire le séjour dans tout ou partie du département, à toute personne cherchant à entraver l’action des pouvoirs publics ", d’ " instituer des zones de protection ou de sécurité où le séjour des personnes est réglementé".
D’après les articles 6, 8 et 11, le préfet peut ordonner l’assignation à résidence de " toute personne dont l’activité s’avère dangereuse " , la fermetures de salles de spectacles, débits de boisson, lieux de réunion… L’autorité administrative (la police), peut également procéder à des perquisitions à domicile, y compris de nuit, ainsi que " prendre toutes mesures pour assurer le contrôle de la presse, des publications de toute nature, de la radio et des représentations cinématographiques et théâtrales ".
La définition du périmètre dans lequel la loi est appliquée relève du préfet qui apprécie au jour le jour s’il y a lieu d’appliquer l’état d’urgence dans un département et sur une zone donnés
.

L’Union Sacrée
La loi prorogeant l’état d’urgence pour une durée de 3 mois est votée le 15 novembre à l’Assemblée Nationale par 346 voix pour (UMP+UDF), 146 voix contre (PCF+Verts+PS) et 3 abstentions (PS). En apparence, la droite réprime et l’opposition s’oppose .
En apparence seulement : le 15 novembre, Jean Marc Ayrault, président du groupe PS a l’assemblée nationale assure " ne pas être hostile au couvre-feu " et Laurent Fabius déclare " Il ne suffit pas de décrèter le couvre-feu, il faut aussi qu’il y ait sur le terrain les forces de sécurité maîtrisées qui puissent l’appliquer ".
Sur la forme, le PS adopte la tactique de l’écran de fumée en confondant l’état d’urgence et le couvre-feu pour les mineurs qui résulte d’ailleurs de la loi Vaillant (PS) dite Loi sur la Sécurité Quotidienne de 2001et qui est mis en place par les maires.
Sur le fond, le PS reste fidèle à son passé (cf " les précédents "). JM Ayrault fait savoir, dès le début des débats à l’assemblée, que son groupe, le seul à disposer d’un nombre suffisant de députés, refusera de porter la loi du 18 novembre 2005 devant le Conseil Constitutionnel alors que tous les spécialistes de droit constitutionnel, y compris ceux de droite, s’accordent à dire que la prorogation de l’état d’urgence aurait été déclarée non conforme à la Constitution parce que les conditions de " péril imminent " ou de " calamité publique " ne sont manifestement pas réunies. La loi est votée le jour même où la Direction Générale de la Police Nationale évoque un retour à la normale. A une petite différence près: le régime policier peut désormais être décrété en tout temps et en tous lieux.
Infosuds, le 12/12/2005


DOSSIER MANDAT D'ARRET EUROPEEN et

A Madrid commencera lundi l'un des plus gros procès politiques de l'histoire européenne de puis 1945

250 militants politiques basques y seront jugés pour délits de militantisme politique. Le gouvernement français collabore à cette procédure voulue par le juge Garzon. Ainsi le porte parole d'Askatasuna, jean-François Lefort est-il sous le coup d'un mandat d'arrêt européen. Trois autres militants politiques, dont une ex députée ont été arrêtés par la police française. Informez vous sur le site de la revue basque ekaitza. Excellent dossier sur le mandat d'arrêt européen et le "Dossier 18/98".


QU'ILS S'EN AILLENT ! 11/11/04 Hind Al Naimi Kjaer, de «L’Alliance Patriotique Irakienne»
«La Coalition ne pourra pas gagner la guerre»
"Tant que l'occupation continue, il y aura resistance" Sammi Alaa, representant de l'Alliance Patriote de l'Irak, s'adresse a la manifestation de Rome le 20 mars 2004Bagad, Madrid, Kabou, Gaza : assez de massacres

qu'ils s'en aillent maintenant ! 20/03/2004


RWANDA 2004 IL Y A 10 ANS

Alliot Marie négationniste, révisionniste:

"les militaires français ont permis qu'il n'y ait pas eu génocide total"

LE GÉNOCIDE AVEC LA COMPLICITE DE LA FRANCE Les conclusions de la Commission d'Enquete citoyenne sur l'implication de la France dans le génocide sont accablantes pour la France.

Lire ces conclusions intégrales (04/04/2004)

Un résumé

 


Michel Warchawsky, journaliste et écrivain franco-israélien: Terminer la guerre de colonisation 18 octobre 2003. Walid Attalah: il s'agit d'un etat raciste base sur la segregation 10/10/2003 la campagne contre le mur de l?apartheid 11/03Partir en mission civiles de protection du peuple palestinien2001/2004 : 3 ans d'agressions impérialistesDe Kaboul à Bagdad via Gaza

dossier gal

DOSSIER PALESTINE


La veritable dette extérieureLettre d'un chef amérindien aux gouvernements européens : remboursez l'or qui a servi à constituer le capital européen ! 04/04

Du son de l'image...(animation flash) ARRETS DES BOMBARDEMENTS CONTRE L IRAK EXPLOSE LE LIBERALISME

LE PRODUIT C EST NOUS

Superbes dessins anti mondialisation à voir en grand....cliquez là

12/05/04

Sans-Papiers kurdes expulsés à Biarritz : Ifran Karakas, 1 des 7 grévistes de la faim kurdes non régularisé livré aux autorités turques

les luttes au jourAU POING DU JOUR... Actualités, coups de gueules,.

 

HALTE A L'AGRESSION ISRAÉLIENNE CONTRE LE LIBAN ET LA PALESTINE OCCUPÉE.

MANIF A TOULOUSE LE 31 JUILLET

Depuis le 25 juin en Palestine et le 12 juillet au Liban l'armée israélienne mène une campagne de destruction massive dans les deux Pays. Rien n'est épargné par les bombardements intensifs et systématiques -- ponts, routes, hôpitaux, écoles et habitations- Sur le plan humain, des centaines de morts, des familles entières décimées, des milliers de blessés et des dizaines de milliers de personnes sont contraintes à l'exode. Une tragédie humaine se déroule depuis de nombreuses années et plus intensément en ce moment au *Liban et en Palestine*. La politique de la terre brûlée pratiquée par Israël, et la menace contre la Syrie et l'Iran risquent d'embraser toute la région. Devant cette agression, les États-Unis affichent leur soutien politique, militaire, économique inconditionnel à l'État d'Israël. Quant au reste de la communauté internationale- l'Union européenne en tête- elle demeure silencieuse aux crimes de guerre commise par Israël.

NOUS NE POUVONS ACCEPTER : · La destruction de Liban et de Palestine · La banalisation des crimes de guerre · L'inaction de la communauté internationale

NOUS EXIGEONS :

· Le retrait total d'Israël des territoires palestiniens et libanais occupés

· La levée du blocus terrestre, maritime et aérien imposé au Liban et à la Palestine occupée et notamment la bande de Gaza. · L'arrêt immédiat de l'agression israélienne et un cessez le feu immédiat.

· L'obligation pour Israël de réparer les dégâts causés par son armée au Liban et en Palestine. · L'arrêt de la coopération militaire et scientifique avec Israël · La libération de tous les prisonniers palestiniens et libanais détenus dans les prisons israéliennes. · L'ouverture des négociations sous l'égide des Nations Unies dans le cadre d'une conférence internationale sur la base des résolutions de l'ONU avec la participation de tous les pays et autorités de la région. Pour dénoncer l'agression israélienne contre la Palestine et le Liban et manifester notre solidarité avec les peuples libanais et palestinien. Dans le cadre d'une journée d'action nationale et européenne UNE GRANDE MANIFESTATION SERA ORGANISÉE A TOULOUSE LE LUNDI 31 JUILLET A *1*8H00, DÉPART PALACE DU CAPITOLE

A l'appel de : L'Association des Palestiniens en France, Association des Palestiniens du 31, AFPS-Toulouse, Comite France-Palestine -Toulouse, GUPS-Toulouse, Mouvement de la Paix, MRAP, LDH 31, Union Juive Française pour la Paix, CGT-SDEN 31, Initiative Nationale Palestinienne, PCF 31, LCR, Mouvement Républicain et Citoyen, in et Citoyen,

Les petits enfants israéliens mettent des messages sur les bombes...

...envoyées aux enfants libanais.

Ecoute la triste histoire de Nicolas Police. Nicolas qui ? Nicolas Police !

LUNDI 8 MAI, MARCHE DES INDIGENES DE LA REPUBLIQUE

Le 17 janvier 2005, l'Appel intitulé « Nous sommes les indigènes de la république » était rendu public. Il a suscité rapidement le soutien enthousiaste de milliers de personnes pour la plupart issues de l'immigration postcoloniale. Il a suscité également la réprobation virulente de la plupart des composantes de la scène politique, de droite comme de gauche. La raison en est simple : nous sommes passés du rôle d'accusés, constamment suspects de « délinquance », d'« islamisme », d'« antisémitisme », de « sexisme », de « communautarisme » et autres monstruosités liées à nos prétendus atavismes culturels, au rôle d'accusateurs. Nous avons dévoilé l'hypocrisie républicaine qui parle d'égalité et d'universalisme alors qu'elle reproduit la ségrégation et le racisme. Nous avons dévoilé l'hypocrisie d'un certain « anti-racisme » qui, à l'instar des appendices du PS, SOS-Racisme et Ni Putes Ni Soumises, se contente de regretter la permanence de représentations racistes sans contester le système qui les produit et les discriminations sociales, culturelles et politiques qu'elles impliquent. L'Appel a dévoilé ce que la république occulte : le racisme dont sont victimes les populations issues de l'immigration est ancré dans un système social, politique, institutionnel et idéologique, produit de la colonisation, qui perpétue la ségrégation raciale et culturelle en France. Nous avons dit : le colonialisme n'a pas été une parenthèse malencontreuse qui s'est refermée avec les Indépendances ; le postcolonialisme poursuit le colonialisme sous une autre forme vis-à-vis des anciennes colonies, des actuelles possessions françaises et des populations issues de l'immigration. Le premier défi que nous nous étions lancé en publiant l'Appel était d'imposer un débat public sur le rapport entre l'histoire coloniale de la république et les discriminations dont sont l'objet les noirs, les arabes et les musulmans. Ce défi a été relevé. Sur la base de l'Appel, de nombreuses forces se sont regroupées, constituant des collectifs comme autant d'instruments de lutte : militant-e-s des quartiers ou de l'immigration, associations musulmanes, de travailleurs maghrébins, espaces engagés dans la solidarité avec le peuple palestinien, féministes, militant-e-s de gauche, toutes et tous uni-e-s contre le postcolonialisme. Grâce à la Marche des indigènes du 8 mai 2005, à laquelle ont participé plusieurs milliers de personnes, et à de multiples initiatives dans différentes villes de France ; grâce à la lutte contre la loi du 23 février ; grâce surtout à la révolte des quartiers populaires, les questions soulevées dans l'Appel sont aujourd'hui au coeur du débat politique. Désormais, incontournable, la question du postcolonialisme est sujet d'une controverse qui traverse l'ensemble de l'espace politique, médiatique, intellectuel et académique, obligé de se positionner sur les thèses de l'Appel qu'ont confirmé de manière éclatante les événements qui se sont succédés depuis sa publication Un chapelet de lois et de mesures ont été prises, ou sont en voie de l'être, qui aggravent encore plus la situation des populations issues de l'immigration coloniale et postcoloniale tandis que l'offensive raciste, négrophobe et islamophobe prend des proportions alarmantes. Cette offensive s'inscrit dans le cadre d'une attaque sans précédent pour imposer l'ordre sécuritaire et néolibérale dont l'ensemble des couches laborieuses et de la jeunesse sont la cible. Elle s'inscrit aussi dans le contexte de la politique de « guerre des civilisations » et de « recolonisation du monde » que mènent les Etats-Unis relayés notamment par la France. Mais les thèses de l'Appel ont d'abord été confirmées par les luttes de ces derniers mois : la révolte des quartiers populaires, les luttes des sans-papiers, les luttes pour le droit au logement, les mobilisations en France et aux Antilles contre la loi inique du 23 février 2005, qui réaffirme l'« oeuvre positive » de la France coloniale, les mobilisations contre la loi « sur l'égalité des chances ». Ces luttes ont montré également la nécessité pour les populations issues de l'immigration postcoloniale de prendre en charge leur destin, de s'organiser, d'unir leurs énergies pour constituer une force politique autonome. Les sans-papiers, les immigrés parqués dans des foyers insalubres et dangereux, les habitants des quartiers, les jeunes confrontés aux brutalités policières, les ouvriers étrangers « derniers embauchés, premiers licenciés », les personnes issues des Dom Tom, les musulmans interdits de pratiquer leur foi, ont un même adversaire : la politique de ségrégation raciale mise en oeuvre par la république dans la continuité de son passé colonial. Les luttes des populations issues de l'immigration et des quartiers ne pourront imposer le changement que si elles convergent au sein d'une dynamique autonome. Mais, si elle concerne en premier lieu les populations issues de l'immigration, c'est l'ensemble des classes populaires qui est visé aujourd'hui par l'offensive gouvernementale. La « loi sur l'égalité des chances », présentée comme une réponse à la « crise des banlieues », fragilise toute la jeunesse et les travailleurs en même temps qu'elle accroît l'extrême précarité des immigrés et de leurs enfants, français ou non. Les mesures policières, présentées comme une réponse à la « délinquance » des jeunes des « quartiers sensibles », a pour but également de permettre le contrôle social et la répression des classes populaires dans leur ensemble. Depuis des décennies, les politiques de droite comme de gauche, manipulent ce qu'elles appellent le « problème de l'immigration ». La « sécurité » ou le prétendu « danger islamiste » sont devenus les thèmes de prédilection d'une propagande qui vise à briser toute résistance à la politique néo-libérale et conservatrice. La perpétuation des discriminations et du racisme, inscrite dans le système postcolonial, est une arme contre l'ensemble du mouvement social. A toutes les forces progressistes et démocratiques, nous disons ceci : soyez avec nous dans la lutte contre le racisme et les discriminations ! Rejoignez le combat contre le postcolonialisme ! Le 8 mai prochain, sous le signe de Toussaint Louverture, héros de la lutte contre l'esclavage, nous battrons le pavé parisien pour affirmer haut et fort la nécessité d'une lutte autonome des populations issues de l'immigration postcoloniale et notre volonté de trouver les chemins d'un « tous ensemble » anticolonialiste. Toutes et tous à la Marche des Indigènes, le 8 mai prochain à 14h de République à Barbès ! ! ! Pour l'amnistie des révoltés d'octobre-novembre 2005 et des personnes inculpées à la suite des manifestations contre le CPE ! Abrogation de la loi pour l'égalité des chances ! Abrogation des articles colonialistes de la loi du 23 février 2005 ! Non, à la loi sur l'immigration jetable ! Dignité ! Egalité ! Justice ! Le Mouvement des Indigènes de la République

PALESTINE : CINEMA SOUS OCCUPATION

numéro du Mouvement Justice en Palestine pdf. Interviews de Mohamed Bakri, d'Avi Mograbi, Eyal Sirvan, Georges Ibrahim

L’UE affame les palestiniens
L’Union européenne n’aura pas mis longtemps à s’aligner sur les positions américaines. La communauté vient en effet de suspendre l’aide financière directe versée au gouvernement palestinien (70 millions d’euros sur 500). L’UE a suspendu ses contacts avec le nouveau gouvernement palestinien. Elle doit réévaluer ses sanctions d’ici un mois, si le gouvernement palestinien ne plie pas aux exigences européennes : la reconnaissance d’Israël, l’arrêt de la lutte armée et la reprise à son compte des accords passés avec Israël. Les premiers effets immédiats, qui viennent se rajouter au blocus économique d’Israël envers les territoires palestiniens ; vont se faire ressentir en termes alimentaires pour la population. Les salaires de 144 000 fonctionnaires dépendent eux aussi de cette aide. 2 000 milliards d’euros de marchandises achetées en Europe sont bloquées par les douanes israéliennes.

Une nouvelle revue politique dans le 64 : Doxa (pdf)

 

"JE TOMBE DES NUES (L'Envolée) Non, les "jeunes" des banlieues ne sont pas devenus méchants. Bien au
contraire,
cela fait longtemps qu'ils sont trop calmes face à un acharnement policier qui n'a jamais hésité à employer toute la force brutale pour étrangler et maintenir dans l'ordre social.. (lire pdf)

"Crevez en Paix mes frères, mais crevez en silence, qu'on ne perçoive que l'écho lointain de vos souffrances..." 9/11/05 Communiqué du MIB

Ceux qui ne comprennent pas aujourd'hui les causes des émeutes sont amnésiques, aveugles ou les deux. En effet cela fait 30 ans que les banlieues réclament justice. 25 années que des révoltes, des émeutes, des manifestations, des Marches, des réunions publiques, des cris de colère avec des revendications précises ont été formulés.
15 ans déjà que le Ministère de la (...) lire
NON AU COUVRE-FEU COLONIAL ! LA REVOLTE N’EST PAS UN CRIME ! LES VERITABLES INCENDIAIRES SONT AU POUVOIR ! Les Indigènes de la République 11/05 Brutalité permanente de la police, mépris de la douleur des gens après la mort de deux adolescents, gazage d’une mosquée, propos irresponsables des autorités de l’État, les provocations d’un pouvoir exclusivement préoccupé par les calculs politiciens et les échéances électorales ont mis le feu aux poudres, et servi de détonateurs à la révolte longuement rentrée de la jeunesse indigène ou indigénisée des quartiers populaires. On parle désormais d’envoyer la troupe pour mater cette révolte. On ne l’envisage, dans une logique de guerre civile, que pour parler de sa répression (lire)Une bonne revue de presse d'indymedia lille...ou toulouse sur les émeutes niceETAT D'URGENCE LA REPRESSION S'ABAT : 3 mois ferme pour avoir montré ses fesses aux CRS à Toulouse lors d'une manif contre l'état d'urgence 15/11/05

PAS DE JUSTICE PAS DE PAIX !Pour mémoire et les effarouchées qui découvrent l'explosion des cités...Il y a 7 ans, à Toulouse, un flic tuait Habib...DOSSIER D'INFOSUDS FAIT EN 2001DOSSIER BANLIEUES CITES (01)

Le flic tueur de Youssef a été acquitté ! 29/09/01 A TOULOUSE Henry Bois, le flic assassin d'Habib en 98 a été condamné à 3 ans avec sursis ! 09/01TOLERANCE ZERO POUR LES QUARTIERSTOLERANCE TOTALE POUR LA POLICE Le communiqué du MIBDEUX ANS APRES LA MORT D'HABIB, ETAT DES LIEUX 00 Trois d?c?s en d?tention dans une m?me famille ? Strasbourg. Madame Ihich dont le fils Aissa a été tué par la police :"J'attends la justice, m?me 10 ans apr?s..." LES ASSASSINS D'AISSA IHICH s'en tirent avec une remontrance...COMMUNIQUE DU MIB (Mouvement Immigration Banlieues) du 20/03/01 REPRESSION : Le local parisien du MIB évacué par la police 20/05/00Le Mirail a Toulouse : un quartier abandonneUn enseignant de la Zep du Mirail, qui connait depuis plusieurs années le quartier et sa situation scolaire, dresse un constat alarmant. Derrière un &laqno;décor» de façade, c'est tout un quartier qui est laissé à l'abandon, avec des familles dans la misère et les jeunes dans la rue.Interview du MIB Mouvement Immigration Banlieue Le MIB est l'un des seuls mouvements d'auto-organisation des jeunes des quartiers. Il lutte prioritairement contre les violences et les meurtres policièrs, contre la discrimination, pour la Justice dans les cites...Les cités en chiffres (statistiques des cités toulousaines)Sur la base des stats des quartiers du Mirail, La Faouerette, Empalot, Bagatelle, la composition sociale des quartiers...Ils ont tue Habib ! assassine par la police à Toulouse en Décembre 98Au Mirail, l'association le 9BIS organise les jeunes. InterviewApres l'assassinat d'Habib par la police, les jeunes du Mirail ont decide de s'organiser pour faire la lumiere sur ce meutre policier de plus...Securite, securite, a propos de la police dans les quartiersUN PARE-BRISE NIQUÉ... 8 MOIS FERMES - 1 600 JUIFS CRAMES... PRÉFET, MINISTRE...INSECURITE POLICIERE VACHE FOLLES ABATTONS LE TROUPEAU Témoignae de victimes de violences policières à Toulouse (infoSuds N26-12/99)/13/12/98 toulouse is burning toulouse brule, ils ont tué Habib !

JUSTICE POUR HABIB ET TOUS LES JEUNES ASSASSINÉ-ES