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dossier galDOSSIER PALESTINE

LES DOSSIERS D'INFOSUDS

Guerre en Irak et en Afghanistan

1994/2004 10 ANS DU GENOCIDE RWANDAIS l'implication de la France

Traffic a fric Dossier sur la politique africaine de la france et des firmes : Total Fina Elf...Infosuds N30 - Eté 2001DOSSIER NUCLEAIRE

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DOSSIER OGM

L'EXTREME-DROITE INFILTRE LE RAP... Une enquête menée par le groupe de rap "Les Rapaces"

 

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Abdelrhaman Zahzah, résidant à Beyrouth
« La Communauté internationale doit influencer Israël pour qu'il cesse son agression »

C'est en direct de Beyrouth qu'Abdelrhaman Zahzah a répondu à nos questions sur l'agression israélienne, le 19/07/06

Quelle est la situation à Beyrouth ?
Abdelrhaman Zahzah : Je suis actuellement dans la ville de Beyrouth, qui n'est pas la cible de bombardements pour l'heure, qui ont lieu plutôt dans le Sud. Il y a un embargo terrestre, maritime et aérien. Quelques routes restent ouvertes. Suite aux attaques dans la Banlieue sud de Beyrouth et dans le Sud, la vielle est en train d'accueillir de nombreux réfugiés. Les écoles publiques sont ouvertes pour les gens. Sur le plan humanitaire, il y a des manques et des problèmes sur le plan sanitaire et médical. On s'organise pour recevoir toutes ces personnes. Les ONG internationales et locales commencent à travailler, de même que le gouvernement, même s'il est encore en retard.
Pour l'instant le problème n'est pas le manque de nourriture. Les bombardements intensifs font sortir les gens de manière très rapide. Il faut après trouver des places aux personnes déplacées et réfugiées. Des nouvelles régions sont bombardées entraînant de nouveaux flux. Les ONG doivent intervenir et aider la communauté locale à subvenir à ses besoins.

Que pensez-vous du motif de l'intervention invoqué par Israël ?
Premièrement, l'action du Hezbollah a été une action purement militaire à objectif militaire. Cela faisait 1 an que le Hezbollah essayait de prendre des otages israéliens en vue de sortir les otages libanais des prisons israéliennes. La décision d'ouvrir cette guerre est venue d'Israël et non pas du Hezbollah ou du gouvernement libanais. Les attentats israéliens frappent les infrastructures civiles, les ponts, l'aéroport de Beyrouth ; ils sont entrain d'essayer de séparer les régions entre elles en bombardant les villages. La décision de la guerre est dans les mains d'Israël. La fin de la guerre est aussi dans les mains d'Israël.


Cette attaque va t-elle durer ?

Je pense qu'avec les décisions de la plupart des ambassades européennes et américaines de rapatrier leurs ressortissants, une communauté internationale qui jusqu'à maintenant n'a pas condamné les attaques d'Israël, ni proposé un plan sérieux pour arrêter cet attentat. Cela va être difficile. Personne ne propose quelque chose de logique pour y mettre fin. Au Liban, on s'attend donc à ce que cela ne s'arrête pas en quelques jours. Au niveau négociation, rien de concret ne sort. Pendant ce temps là, les attentats israéliens continuent.
On veut que l'Europe et la communauté internationale fassent s'arrêter cette guerre et cet embargo, stoppent les attentats. L'action du Hezbollah a été militaire, la riposte israélienne aurait du être militaire. Là, ce n'est pas la cas. Ce n'est pas une riposte de caractère militaire puisqu'elle vise tout le peuple libanais. Elle vise tous les aspects de la vie au Liban.

Cette attaque divise-t-elle peuple libanais ?
Je pense, qu'après ces années de crise, et compte tenu des divergences à l'intérieur de la Résistance, Israël tente de séparer, d'agrandir cette séparation entre les différents courants d'idées. Sous les bombes, il n'y a pas trop d'espace pour le débat politique Mais malgré cela, le peuple libanais est uni face à la crise humanitaire.
Israël est une des plus grande puissances militaires du monde. Celui qui a la possibilité de commencer ou d'arrêter une guerre, c'est bien le plus fort. Il n'y a pas d'égalité des forces avec Israël. C'est pourquoi on ne peut pas parler de cessez le feu des deux côtés. Il n'y pas de balance des forces en présence. Logiquement, la Communauté internationale doit influencer Israël pour qu'il cesse son agression.

 

Kristof St Esteben, salarié basque d'une ONG espagnole à Saïda
« En 6 ans, j'ai pu voir ce pays se reconstruire et être détruit en 6 jours »

Kristof Saint Esteben, d'Uztaritze vit et travaille depuis six ans dans un camp de réfugiés palestinien du Liban. Salarié de l'ONG espagnole " Mouvement pour la Paix, le désarmement et la Liberté " (MPDL), nous avons pu le joindre au camp de Saida, le plus grand camp de réfugiés palestiniens du Liban avec 75 000 personnes, où il a répondu à nos questions entre deux bombardements. Il y fait le point sur la situation humanitaire créée par l'attaque israélienne

Quels sont les objectifs bombardés par les israéliens ?
L'armée israélienne bombarde l'infrastructure civiles avec des F16 et des hélicoptères Apache. Routes et ponts, centrales électriques, réservoirs d'essence sont détruits. Il ont bombardé de nombreux domiciles dans les zones dans lesquelles vivent des chiites dans le Sud. On ne peut pas sortir de la zone dans laquelle nous sommes, et cela est déconseillé. Hier soir, aux abords du camp, ils ont shooté un bus ; il y a eu douze morts civils. Il y a trois jours, ce sont les navires de guerre israéliens qui nous pilonnaient. Aujourd'hui un bus du CICR a été pilonné. Ils ont détruit des usines qui n'avaient rien à voir et très peu d'objectifs militaires.


Avez-vous des données sur le nombre de victimes ?
Ici l'on parle de 250 victimes civiles. Cela entraîne un flux de déplacés et de réfugiés venus du Sud. La ville de Saida, comptait il y a deux jours, une trentaine de familles de déplacés du sud, aujourd'hui elles sont plus de 500. Le camp de réfugiés palestiniens compte déjà 75 000 personnes et accueillent désormais des libanais déplacés. Ce sont les Libanais qui viennent vivre dans les camps des Palestiniens


Les camps de réfugiés sont ils bombardés ?
Pour l'instant, seuls les abords des camps l'ont été au début de l'opération israélienne. Ils n'ont pas encore été pris pour cibles.
Les gens s'organisent, les ONG font des distributions. On vient de faire une demande à l'UE pour 2000 familles, soit 10 000 personnes sur Saida. On n'a aucun cash, aucune monnaie, les banques sont fermées, les réserves de nourriture diminuent


Vous pensez que ça va durer ?
On valse entre crise d'optimisme et de pessimisme. Cette nuit, ils ont bombardé la vallée de la Bekaa et sur la côte, des villages chrétiens. On peut donc se poser la question de la légitimité de la riposte au Hezbollah... On parle de négociations, nous espérons que cela aboutisse. Cela fait six ans que je vis dans ce pays. Je suis arrivé après le retrait des forces israéliennes, et j'ai vu ce pays se reconstruire, et l'on voit en six jours que la moitié du pays est détruite, c'est très dur.
On espère qu'Américains et Israéliens plieront et y mettent du leur pour y mettre fin.

Entretiens réalisés le 19/07/06

DOSSIER Guerre en Irak et en Afghanistan

dossier galDOSSIER PALESTINE


DOSSIER MANDAT D'ARRET EUROPEEN et

A Madrid commencera lundi l'un des plus gros procès politiques de l'histoire européenne de puis 1945

250 militants politiques basques y seront jugés pour délits de militantisme politique. Le gouvernement français collabore à cette procédure voulue par le juge Garzon. Ainsi le porte parole d'Askatasuna, jean-François Lefort est-il sous le coup d'un mandat d'arrêt européen. Trois autres militants politiques, dont une ex députée ont été arrêtés par la police française. Informez vous sur le site de la revue basque ekaitza. Excellent dossier sur le mandat d'arrêt européen et le "Dossier 18/98".


QU'ILS S'EN AILLENT ! 11/11/04 Hind Al Naimi Kjaer, de «L’Alliance Patriotique Irakienne»
«La Coalition ne pourra pas gagner la guerre»
"Tant que l'occupation continue, il y aura resistance" Sammi Alaa, representant de l'Alliance Patriote de l'Irak, s'adresse a la manifestation de Rome le 20 mars 2004Bagad, Madrid, Kabou, Gaza : assez de massacres

qu'ils s'en aillent maintenant ! 20/03/2004


RWANDA 2004 IL Y A 10 ANS

Alliot Marie négationniste, révisionniste:

"les militaires français ont permis qu'il n'y ait pas eu génocide total"

LE GÉNOCIDE AVEC LA COMPLICITE DE LA FRANCE Les conclusions de la Commission d'Enquete citoyenne sur l'implication de la France dans le génocide sont accablantes pour la France.

Lire ces conclusions intégrales (04/04/2004)

Un résumé

 


Michel Warchawsky, journaliste et écrivain franco-israélien: Terminer la guerre de colonisation 18 octobre 2003. Walid Attalah: il s'agit d'un etat raciste base sur la segregation 10/10/2003 la campagne contre le mur de l?apartheid 11/03Partir en mission civiles de protection du peuple palestinien2001/2004 : 3 ans d'agressions impérialistesDe Kaboul à Bagdad via Gaza

dossier gal

DOSSIER PALESTINE


La veritable dette extérieureLettre d'un chef amérindien aux gouvernements européens : remboursez l'or qui a servi à constituer le capital européen ! 04/04

Du son de l'image...(animation flash) ARRETS DES BOMBARDEMENTS CONTRE L IRAK EXPLOSE LE LIBERALISME

LE PRODUIT C EST NOUS

Superbes dessins anti mondialisation à voir en grand....cliquez là

12/05/04

Sans-Papiers kurdes expulsés à Biarritz : Ifran Karakas, 1 des 7 grévistes de la faim kurdes non régularisé livré aux autorités turques

les luttes au jourAU POING DU JOUR... Actualités, coups de gueules,.

 

Ecoute la triste histoire de Nicolas Police. Nicolas qui ? Nicolas Police !

LUNDI 8 MAI, MARCHE DES INDIGENES DE LA REPUBLIQUE

Le 17 janvier 2005, l'Appel intitulé « Nous sommes les indigènes de la république » était rendu public. Il a suscité rapidement le soutien enthousiaste de milliers de personnes pour la plupart issues de l'immigration postcoloniale. Il a suscité également la réprobation virulente de la plupart des composantes de la scène politique, de droite comme de gauche. La raison en est simple : nous sommes passés du rôle d'accusés, constamment suspects de « délinquance », d'« islamisme », d'« antisémitisme », de « sexisme », de « communautarisme » et autres monstruosités liées à nos prétendus atavismes culturels, au rôle d'accusateurs. Nous avons dévoilé l'hypocrisie républicaine qui parle d'égalité et d'universalisme alors qu'elle reproduit la ségrégation et le racisme. Nous avons dévoilé l'hypocrisie d'un certain « anti-racisme » qui, à l'instar des appendices du PS, SOS-Racisme et Ni Putes Ni Soumises, se contente de regretter la permanence de représentations racistes sans contester le système qui les produit et les discriminations sociales, culturelles et politiques qu'elles impliquent. L'Appel a dévoilé ce que la république occulte : le racisme dont sont victimes les populations issues de l'immigration est ancré dans un système social, politique, institutionnel et idéologique, produit de la colonisation, qui perpétue la ségrégation raciale et culturelle en France. Nous avons dit : le colonialisme n'a pas été une parenthèse malencontreuse qui s'est refermée avec les Indépendances ; le postcolonialisme poursuit le colonialisme sous une autre forme vis-à-vis des anciennes colonies, des actuelles possessions françaises et des populations issues de l'immigration. Le premier défi que nous nous étions lancé en publiant l'Appel était d'imposer un débat public sur le rapport entre l'histoire coloniale de la république et les discriminations dont sont l'objet les noirs, les arabes et les musulmans. Ce défi a été relevé. Sur la base de l'Appel, de nombreuses forces se sont regroupées, constituant des collectifs comme autant d'instruments de lutte : militant-e-s des quartiers ou de l'immigration, associations musulmanes, de travailleurs maghrébins, espaces engagés dans la solidarité avec le peuple palestinien, féministes, militant-e-s de gauche, toutes et tous uni-e-s contre le postcolonialisme. Grâce à la Marche des indigènes du 8 mai 2005, à laquelle ont participé plusieurs milliers de personnes, et à de multiples initiatives dans différentes villes de France ; grâce à la lutte contre la loi du 23 février ; grâce surtout à la révolte des quartiers populaires, les questions soulevées dans l'Appel sont aujourd'hui au coeur du débat politique. Désormais, incontournable, la question du postcolonialisme est sujet d'une controverse qui traverse l'ensemble de l'espace politique, médiatique, intellectuel et académique, obligé de se positionner sur les thèses de l'Appel qu'ont confirmé de manière éclatante les événements qui se sont succédés depuis sa publication Un chapelet de lois et de mesures ont été prises, ou sont en voie de l'être, qui aggravent encore plus la situation des populations issues de l'immigration coloniale et postcoloniale tandis que l'offensive raciste, négrophobe et islamophobe prend des proportions alarmantes. Cette offensive s'inscrit dans le cadre d'une attaque sans précédent pour imposer l'ordre sécuritaire et néolibérale dont l'ensemble des couches laborieuses et de la jeunesse sont la cible. Elle s'inscrit aussi dans le contexte de la politique de « guerre des civilisations » et de « recolonisation du monde » que mènent les Etats-Unis relayés notamment par la France. Mais les thèses de l'Appel ont d'abord été confirmées par les luttes de ces derniers mois : la révolte des quartiers populaires, les luttes des sans-papiers, les luttes pour le droit au logement, les mobilisations en France et aux Antilles contre la loi inique du 23 février 2005, qui réaffirme l'« oeuvre positive » de la France coloniale, les mobilisations contre la loi « sur l'égalité des chances ». Ces luttes ont montré également la nécessité pour les populations issues de l'immigration postcoloniale de prendre en charge leur destin, de s'organiser, d'unir leurs énergies pour constituer une force politique autonome. Les sans-papiers, les immigrés parqués dans des foyers insalubres et dangereux, les habitants des quartiers, les jeunes confrontés aux brutalités policières, les ouvriers étrangers « derniers embauchés, premiers licenciés », les personnes issues des Dom Tom, les musulmans interdits de pratiquer leur foi, ont un même adversaire : la politique de ségrégation raciale mise en oeuvre par la république dans la continuité de son passé colonial. Les luttes des populations issues de l'immigration et des quartiers ne pourront imposer le changement que si elles convergent au sein d'une dynamique autonome. Mais, si elle concerne en premier lieu les populations issues de l'immigration, c'est l'ensemble des classes populaires qui est visé aujourd'hui par l'offensive gouvernementale. La « loi sur l'égalité des chances », présentée comme une réponse à la « crise des banlieues », fragilise toute la jeunesse et les travailleurs en même temps qu'elle accroît l'extrême précarité des immigrés et de leurs enfants, français ou non. Les mesures policières, présentées comme une réponse à la « délinquance » des jeunes des « quartiers sensibles », a pour but également de permettre le contrôle social et la répression des classes populaires dans leur ensemble. Depuis des décennies, les politiques de droite comme de gauche, manipulent ce qu'elles appellent le « problème de l'immigration ». La « sécurité » ou le prétendu « danger islamiste » sont devenus les thèmes de prédilection d'une propagande qui vise à briser toute résistance à la politique néo-libérale et conservatrice. La perpétuation des discriminations et du racisme, inscrite dans le système postcolonial, est une arme contre l'ensemble du mouvement social. A toutes les forces progressistes et démocratiques, nous disons ceci : soyez avec nous dans la lutte contre le racisme et les discriminations ! Rejoignez le combat contre le postcolonialisme ! Le 8 mai prochain, sous le signe de Toussaint Louverture, héros de la lutte contre l'esclavage, nous battrons le pavé parisien pour affirmer haut et fort la nécessité d'une lutte autonome des populations issues de l'immigration postcoloniale et notre volonté de trouver les chemins d'un « tous ensemble » anticolonialiste. Toutes et tous à la Marche des Indigènes, le 8 mai prochain à 14h de République à Barbès ! ! ! Pour l'amnistie des révoltés d'octobre-novembre 2005 et des personnes inculpées à la suite des manifestations contre le CPE ! Abrogation de la loi pour l'égalité des chances ! Abrogation des articles colonialistes de la loi du 23 février 2005 ! Non, à la loi sur l'immigration jetable ! Dignité ! Egalité ! Justice ! Le Mouvement des Indigènes de la République

PALESTINE : CINEMA SOUS OCCUPATION

numéro du Mouvement Justice en Palestine pdf. Interviews de Mohamed Bakri, d'Avi Mograbi, Eyal Sirvan, Georges Ibrahim

L’UE affame les palestiniens
L’Union européenne n’aura pas mis longtemps à s’aligner sur les positions américaines. La communauté vient en effet de suspendre l’aide financière directe versée au gouvernement palestinien (70 millions d’euros sur 500). L’UE a suspendu ses contacts avec le nouveau gouvernement palestinien. Elle doit réévaluer ses sanctions d’ici un mois, si le gouvernement palestinien ne plie pas aux exigences européennes : la reconnaissance d’Israël, l’arrêt de la lutte armée et la reprise à son compte des accords passés avec Israël. Les premiers effets immédiats, qui viennent se rajouter au blocus économique d’Israël envers les territoires palestiniens ; vont se faire ressentir en termes alimentaires pour la population. Les salaires de 144 000 fonctionnaires dépendent eux aussi de cette aide. 2 000 milliards d’euros de marchandises achetées en Europe sont bloquées par les douanes israéliennes.

Une nouvelle revue politique dans le 64 : Doxa (pdf)

 

"JE TOMBE DES NUES (L'Envolée) Non, les "jeunes" des banlieues ne sont pas devenus méchants. Bien au
contraire,
cela fait longtemps qu'ils sont trop calmes face à un acharnement policier qui n'a jamais hésité à employer toute la force brutale pour étrangler et maintenir dans l'ordre social.. (lire pdf)

"Crevez en Paix mes frères, mais crevez en silence, qu'on ne perçoive que l'écho lointain de vos souffrances..." 9/11/05 Communiqué du MIB

Ceux qui ne comprennent pas aujourd'hui les causes des émeutes sont amnésiques, aveugles ou les deux. En effet cela fait 30 ans que les banlieues réclament justice. 25 années que des révoltes, des émeutes, des manifestations, des Marches, des réunions publiques, des cris de colère avec des revendications précises ont été formulés.
15 ans déjà que le Ministère de la (...) lire
NON AU COUVRE-FEU COLONIAL ! LA REVOLTE N’EST PAS UN CRIME ! LES VERITABLES INCENDIAIRES SONT AU POUVOIR ! Les Indigènes de la République 11/05 Brutalité permanente de la police, mépris de la douleur des gens après la mort de deux adolescents, gazage d’une mosquée, propos irresponsables des autorités de l’État, les provocations d’un pouvoir exclusivement préoccupé par les calculs politiciens et les échéances électorales ont mis le feu aux poudres, et servi de détonateurs à la révolte longuement rentrée de la jeunesse indigène ou indigénisée des quartiers populaires. On parle désormais d’envoyer la troupe pour mater cette révolte. On ne l’envisage, dans une logique de guerre civile, que pour parler de sa répression (lire)Une bonne revue de presse d'indymedia lille...ou toulouse sur les émeutes niceETAT D'URGENCE LA REPRESSION S'ABAT : 3 mois ferme pour avoir montré ses fesses aux CRS à Toulouse lors d'une manif contre l'état d'urgence 15/11/05

PAS DE JUSTICE PAS DE PAIX !Pour mémoire et les effarouchées qui découvrent l'explosion des cités...Il y a 7 ans, à Toulouse, un flic tuait Habib...DOSSIER D'INFOSUDS FAIT EN 2001DOSSIER BANLIEUES CITES (01)

Le flic tueur de Youssef a été acquitté ! 29/09/01 A TOULOUSE Henry Bois, le flic assassin d'Habib en 98 a été condamné à 3 ans avec sursis ! 09/01TOLERANCE ZERO POUR LES QUARTIERSTOLERANCE TOTALE POUR LA POLICE Le communiqué du MIBDEUX ANS APRES LA MORT D'HABIB, ETAT DES LIEUX 00 Trois d?c?s en d?tention dans une m?me famille ? Strasbourg. Madame Ihich dont le fils Aissa a été tué par la police :"J'attends la justice, m?me 10 ans apr?s..." LES ASSASSINS D'AISSA IHICH s'en tirent avec une remontrance...COMMUNIQUE DU MIB (Mouvement Immigration Banlieues) du 20/03/01 REPRESSION : Le local parisien du MIB évacué par la police 20/05/00Le Mirail a Toulouse : un quartier abandonneUn enseignant de la Zep du Mirail, qui connait depuis plusieurs années le quartier et sa situation scolaire, dresse un constat alarmant. Derrière un &laqno;décor» de façade, c'est tout un quartier qui est laissé à l'abandon, avec des familles dans la misère et les jeunes dans la rue.Interview du MIB Mouvement Immigration Banlieue Le MIB est l'un des seuls mouvements d'auto-organisation des jeunes des quartiers. Il lutte prioritairement contre les violences et les meurtres policièrs, contre la discrimination, pour la Justice dans les cites...Les cités en chiffres (statistiques des cités toulousaines)Sur la base des stats des quartiers du Mirail, La Faouerette, Empalot, Bagatelle, la composition sociale des quartiers...Ils ont tue Habib ! assassine par la police à Toulouse en Décembre 98Au Mirail, l'association le 9BIS organise les jeunes. InterviewApres l'assassinat d'Habib par la police, les jeunes du Mirail ont decide de s'organiser pour faire la lumiere sur ce meutre policier de plus...Securite, securite, a propos de la police dans les quartiersUN PARE-BRISE NIQUÉ... 8 MOIS FERMES - 1 600 JUIFS CRAMES... PRÉFET, MINISTRE...INSECURITE POLICIERE VACHE FOLLES ABATTONS LE TROUPEAU Témoignae de victimes de violences policières à Toulouse (infoSuds N26-12/99)/13/12/98 toulouse is burning toulouse brule, ils ont tué Habib !

JUSTICE POUR HABIB ET TOUS LES JEUNES ASSASSINÉ-ES